CAN/CSA-E335-2-64-94:1994 Edition
$72.15
Sécurité des appareils électrodomestiques et analogues – Partie 2: Règles particulières pour les machines de cuisine électriques à usage collectif
Published By | Publication Date | Number of Pages |
CSA | 1994 | 52 |
Préface
L’article de la première partie est applicable, avec l’exception su ivante:
1.1 Remplacement:
La présente norme s’applique aux machines de cuisine électriques à usage collectif qui ne sont pas destinées aux usages domestiques.
Comme exemples de machines de cuisine, on peut citer:
- les batteurs;
- les mélangeurs de liquide;
- les mélangeurs d’aliments;
- les pétrins;
- les fouets;
- les coupe-légumes;
- les râpes;
- les hachoirs;
- les trancheurs;
- les éplucheuses;
- les ouvre-boîtes;
- les moulins à café;
- les machines pour laver les denrées alimentaires;
- les portionneuses;
- les machines à fonctions multiples.
Cette norme s’applique également aux appareils qui, afin den faciliter le transport, sont livrés en plusieurs parties (sous- ensembles) et qui, une fois assemblés sur leur lieu d’installation, forment une unité de construction pouvant s’utiliser sans autres parties additionnelles.
La présente norme s’applique également à la partie électrique des appareils faisant appel à d’autres formes d’énergie.
La présente norme ne s’applique pas:
- aux machines de cuisine à usage industriel;
- aux machines de cuisine à usage continu pour la préparation en masse d’aliments;
- aux équipements indépendants de convoyage, tels que les tapis roulants de distribution;
- aux appareils destinés à être utilisés dans les locaux présentant des conditions particulières, par exemple des atmosphères corrosives ou explosives (poussières, vapeurs ou gaz).
Pour les appareils destinés à être utilisés dans les véhicules ou à bord des navires ou des avions, des règles supplémentaires peuvent être nécessaires.
Pour les appareils destinés à être utilisés dans les pays tropicaux, des prescriptions spéciales peuvent être nécessaires.
L’attention est attirée sur le fait que dans de nombreux pays des prescriptions supplémentaires sont imposées par les organismes nationaux responsables de la santé publique, de la distribution d’eau ou de la protection des travailleurs.